Première étape du programme CRISTAL Body-Layering, CRISTAL Pro va agir sur le volume en détruisant efficacement et définitivement les adipocytes
La cryolipolyse
La cryolipolyse est une méthode pour sculpter la silhouette grâce à l’action du froid sur les graisses. L’exposition au froid des bourrelets permet la réduction sélective des cellules adipeuses par extraction d’énergie tissulaire.
De nombreuses études et observations ont montré que, sous certaines conditions, l’exposition au froid d’un bourrelet induit une apoptose des cellules graisseuses sans endommager la peau ou les autres tissus (ceux-ci étant moins sensibles au froid que le tissu adipeux). Le modelage du corps par destruction des cellules graisseuses ou cryolipolyse est une procédure très répandue dans le monde, plusieurs millions de personnes ont été traitées.
L’exposition au froid des tissus adipeux provoque un processus inflammatoire qui est stimulé par la nécrose des adipocytes. Après le traitement, la réaction inflammatoire dure environ 1 mois, période durant laquelle la zone traitée peut être plus ou moins gonflée et sensible. 90 jours après le traitement, les images (échographies et photographies) montrent une diminution des cellules graisseuses. Le bourrelet est diminué de 30% à 45% de façon durable en une séance.
La Cryolipolyse donne des résultats visibles entre 1 et 3 mois. Il est possible de traiter plusieurs fois le même bourrelet pour atteindre les résultats recherchés.
La cryolipolyse apporte une réponse à une situation de gène localisée. La cryolipolyse est une technique non invasive qui se pratique sans anesthésie ni éviction sociale.
La cryolipolyse n’est pas un traitement de l’obésité ou du surpoids. La liposuccion est la procédure la plus connue pour sculpter la silhouette. La nature envahissante, les risques et les contraintes de l’intervention de la liposuccion peut conduire à préférer la cryolipolyse dans certaines indications. La cryolipolyse est une alternative ou un complément de la liposuccion.
Certains patients (moins de 10%) sont résistants à cette technique et voient pas ou peu de résultats. Aucune piste en 2020 ne permet de suspecter une résistance au traitement chez un patient.
